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Bienvenue sur le site du théâtre les montreurs d’images et l’école de danse du théâtre
Le théâtre les montreurs d’images est né sous l’impulsion de Monique Décosterd et de Marco Jaccoud en 1977. La troupe se définit alors comme théâtre mobile au sens large. Les objectifs de la compagnie sont d’aller à la rencontre du public : rues, hôpitaux, maisons de retraite, prisons, foyers d’immigrés, maisons de jeunes etc.
Avec cette vision, le théâtre les montreurs d’images crée des spectacles de formes légères, adaptables à toutes sortes de circonstances, qu’il joue pour des animations estivales dans des parcs publics de Genève mandatées alors, par le Département de la Culture de la Ville, et qu’il présente en tournée en Suisse romande.
Pendant toutes les années de 1977 jusqu’en 2010, le théâtre anime de nombreux ateliers, crée de grands événements de rue sans précédent, réunissant des centaines de participants (célébrations du printemps, parades d’hiver). Il s’implique dans des mouvements citoyens (journée mondiale des femmes, journée mondiale du sida), accompagne les revendications devant l’ONU des peuples autochtones, se positionne contre la peine de mort, soutient les maisons de quartier avec des images urbaines fortes et parlantes dans le silence.
En 1981, le théâtre part en tournée sur les routes de France, d’Espagne, de Suisse et d’Ecosse avec un autocar, des tentes, des spectacles et des spectacles urbains. Pendant plus d’un an, la troupe joue ses créations dans des théâtres, des fêtes populaires, sur des places publiques, et anime des ateliers-spectacles dans des centres culturels et maisons de quartier. Cette première tournée se termine au prestigieux festival de théâtre d’Edimbourg.
Après ce long périple, les membres fondateurs du théâtre partent en voyage d’études au Népal et en Inde. En 1983, de retour à Genève, le théâtre les montreurs d’images ouvre une école de danse et théâtre du mouvement. Il reprend ses mandats avec la Ville de Genève et présente ses spectacles dans les parcs, sous des chapiteaux de location pendant plusieurs années.
En 1987, Marco Jaccoud et Monique Décosterd, fondateurs du théâtre, font le projet de construire leur propre chapiteau, inspiré du tipi amérindien. Ce projet se concrétise grâce à la collaboration d’amis architectes et ingénieurs, d’entreprises locales, et avec l’appui du Magistrat Guy Olivier Segond, de la Loterie Romande, de Pro Helvetia et des dons privés.
La compagnie possède ainsi sa propre salle de spectacle itinérante qui affirme son identité. Elle peut désormais se déplacer à la manière des cirques avec camions et caravanes, ce qui lui donne son autonomie et sa mobilité.
En 1989, le théâtre les montreurs d’images réalise un rêve, se rendre de l’autre côté du mur. Désormais le théâtre se produit plusieurs mois par année dans les pays de l’Est encore difficiles d’accès.
Ces tournées permettent des rencontres exceptionnelles avec des artistes et des troupes de théâtre de Pologne, d’Ukraine, de Tachkent, d’Allemagne de l’Est, avec un homme, écrivain dissident devenu Président de la Tchécoslovaquie, et les populations minoritaires Tsiganes. Nous sommes au cœur des grands changements au sein de l’Europe, toute cette diversité devient un terreau fertile à la vie et à la créativité de la compagnie pour de longues années.
La rencontre avec des populations fragilisée affirme le choix de faire du théâtre un lieu d’écoute et d’interrogations sur l’état du monde en ouvrant la parole à l’Autre dans les sujets de ses créations.
“Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve”
Antoine de Saint-Exupéry
La mobilité du chapiteau amène également la troupe à se produire aussi dans lieux en Suisse et en France dès l’année de la création du chapiteau 1989.
Tous les spectacles du théâtre les montreurs d’images sont des créations originales. La danse et la musique y occupent une place centrale. La parole, des masques, des mannequins et des marionnettes géantes sont également intégrées pour servir l’image et le sujet.
Dès 1987, la compagnie, logée jusqu’alors dans un atelier insalubre, s’installe dans un grand loft dans l’Ancien Palais des Expositions qui devient, pour quelques années, le lieu des répétitions, de l’administration, de l’école des arts de la scène et d’une salle de spectacle pouvant accueillir 100 à 150 personnes. 1989 voit naître l’atelier-théâtre pour enfants dont les créations sont un lien entre les artistes et les enfants. Notre troupe d’artistes se compose de Suisses, Français, Tchèques, Mexicains, Catalans, Roms et Américains. Ce qui est une grande richesse pour les enfants de nos ateliers. Les spectacles sont joués dans la salle de spectacle du théâtre. Le nombre de places pour le public permet l’accueil régulier d’autres compagnies.
Depuis la création du chapiteau, et jusqu’en 2010, la compagnie est soutenue tant bien que mal par des partenaires financiers, ce qui lui permet de poursuivre ses activités, malgré un combat permanent pour mener à bien ses projets.
Les années 90 : tout en continuant les présentations sous chapiteau, le théâtre les montreurs d’images présente également des spectacles dans le cadre plus intime de sa nouvelle petite salle de spectacle à la rue Michel Simon. Ce lieu permet en outre de maintenir l’école de formation aux arts de la scène avec des cours permanents durant toute l’année.
L’école a toujours existé en amont à la compagnie. C’est grâce aux élèves que le théâtre a réussi à exister toutes ces années, offrant aux artistes du théâtre de vivre de leur passion.
De nombreux élèves ont aujourd’hui choisi eux aussi ce métier en créant leur propre compagnie, en devant chorégraphe, décorateur, danseur, musicien.
Nous sommes heureux d’avoir contribué à leur transmettre notre savoir et notre amour de notre métier. Ce que nous continuons de faire aujourd’hui, dans nos cours hebdomadaires.
Nous voulons partager aujourd’hui le récit de cette aventure avec la publication de nos magnifiques photos, de nos textes, et des articles de presse. Un récit de voyage, mais aussi une implication très présente de l’aventure culturelle Genevoise. Les plus âgés s’en souviennent. Les plus jeunes pourront découvrir comment le théâtre peut être un lieu de vie où rêves et réalités se confondent.
Quatre ouvrages, un par décennie réunit dans un coffret est publié en 2020 au sortir de la pandémie sera publier.
Le théâtre les montreurs d’images fête ses 40 ans et plus avec la publication du coffret, une création « Si tu dois couper un arbre, fais- en quelque chose beau » un évènement pour célébrer quarante ans de réalisations de tant de spectacles, de voyages sur les routes avec le chapiteau, le nombre incalculable des personnes adultes et enfants que nous avons côtoyé ici et ailleurs, dans nos cours, ateliers, lors des représentations avec les spectateurs, des artistes de tous horizons.
Monique Décosterd
News
Théâtre les montreurs d’images
Projet 2026
Diptyque
Diptyque Immersion dans l’univers de S.Corinna Bille
De Genève au Valais, de la Suisse à l’étranger
Spectacles inspirés de l’œuvre de C. Bille
Prologue
Les Œufs de Pâques
RecréationLa petite danseuse et la marionnette
Théoda –
Projet artistique
« La seule chose que l’art puisse faire en ce moment c’est d’exprimer le désir d’un autre état du monde » (Jean Genet)
Alors que nombreux sont ceux qui soulignent l’urgence de redécouvrir l’œuvre de l’écrivaine valaisanne S. Corinna Bille, décédée en 1979, une grande partie de ses manuscrits dorment encore aux archives fédérales. Si son enseignement en milieu scolaire constitue une approche précieuse, d’autres voies méritent d’être explorées pour transmettre la richesse de son univers.
L’art vivant, en particulier la performance théâtrale, offre une porte d’entrée complémentaire à la pédagogie traditionnelle, permettant d’incarner et de faire résonner son œuvre autrement. Car il est bien question d’art : poèmes, nouvelles, romans ou contes, les écrits de Corinna Bille dépassent le cadre strictement littéraire, tant son écriture est imagée et sensorielle.
Le présent projet, dans la lignée des nombreuses créations du Théâtre les montreurs d’images, se donne pour ambition de remettre en lumière cette auteure d’exception et de raviver son héritage auprès du public contemporain.
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« L’œuvre de Corinna Bille fait entendre une voix subtile et suggestive de tout ce qui est inexplicable en nous. Son imaginaire révèle une profonde vérité : des images, des mises en scènes fortes, des climats et des éclairages particuliers des personnages. Les protagonistes sont environnés de forces formidables qu’elle décrit par un sentiment immédiat de la nature. Ses personnages éprouvent la nature, épousent la forme des collines, des racines, des forêts. Le bruit du torrent devient le bruit du flux de leur sang » (Monique Décosterd).
Ce projet marque l’aboutissement d’un long travail – plus de vingt-cinq ans – mené par Monique Décosterd, ……….Tout sera ainsi mis en œuvre pour que les spectateurs s’immergent pleinement dans l’univers de C. Bille
Témoignage Théoda 2024
« Ce petit mot pour vous remercier de tout coeur pour votre spectacle « Théoda » .
Ce fut un moment artistique intense et poétique qui a fait vibrer mon âme tout en nourrissant ma contemplation des passions amoureuses, de la fatalité, de la peur comme de la fascination de l’Autre…
J’ai particulièrement apprécié la lenteur du récit que l’on goûte, la bienveillante lucidité d’une grand-mère qui raconte sans juger, qui se souvient de ce drame à la fois beau et terrible de son enfance.
La sobriété de la mise en scène, la finesse des arrangements musicaux et votre danse si habitée participent bien-sûr aussi à l’intensité et la poésie du récit. »
Anna Kern (Anna La china)
Extrait
J’aime beaucoup cette façon non pas d ’imposer, mais de partager : nous inviter dans un imaginaire de la féminité, d’une féminité forte, inventive et poétique.
Je vois que tu ne te bats pas «CONTRE» mais «POUR», sans violence en nous faisant trouver à travers le rêve notre force, notre envie de vivre, de penser et d’agir.
Dominique Zbinden
Corinna Bille photo de Suzi Pilet
Théoda 2024 photo Ysabelle Meister
Evénement artistique
Le théâtre les montreurs d’images a été heureux d’accueillir la compagnie de la fourmillière avec les nouvelles créations de Sarah Marcuse en septembre 2025.
Témoignage de Madame Christina Kitsos, Conseillère Administrative
« Sarah Marcuse vous avez le courage de révéler ce que d’autres préféreraient taire. Votre spectacle secoue, interpelle, éveille les consciences. Vous osez aller là ou peu d’artistes s’aventurent.
Vos créations témoignent d’une volonté constante de repousser les limites de l’expression théâtrale et votre art s’impose par le rythme, la performance artistique, la poésie…vous n’hésitez pas non plus à faire rire, même face à des sujets sombres.
Mais ce qui vous distingue avant tout, c’est votre capacité à faire de l’art un outil de guérison collective, de transformation, en abordant des sujets emprunts de déni social.
Vous brisez l’isolement, vous offrez un miroir à celles et ceux qui traversent des épreuves similaires, et vous permettez ainsi à la société, de se confronter à ses zones d’ombre, à ses peurs et à ses limites.
Avec Holyshit, spectacle d’une intensité rare, vous brisez le silence autour de l’inceste.
Aujourd’hui avec « Crack le code » vous racontez l’épreuve intime traversée quand on est proche d’un consommateur de crack. Alors que d’aucuns considèrent les consommateurs comme des « nuisances », le terme est très violent, mais je l’ai entendu en séance, vous remettez l’humain au centre et cela est fondamental.
Transformer un trauma personnel en œuvre artistique universelle, exige une force hors du commun.
Faire de ses blessures une lumière pour les autres, c’est l’essence même de l’art. Votre spectacle interroge la collectivité par le partage de l’intime.
Merci pour cet art qui nous grandit toutes et tous. »
Remerciement de Monique Décosterd
Chère Sarah
Voilà la deuxième collaboration après Holyshit en 2024 et maintenant Tout proche en 2025.
Partager le théâtre avec toi et tes proches est un vrai bonheur.
Tu sais comme je chéri ces lieux et je te remercie pour l’immense respect avec lequel tu occupes le théâtre pendant les semaines de création et de représentations.
Je veux aussi te dire que ton écriture, ton jeu de comédienne, ta mise en scène en collaboration avec Madeleine, les sujets et ta force de nous faire partager des moments tellement intimes de ta vie me touchent profondément. Avec Crack le code et la présence de Toma, la sobriété de la mise en scène, de la lumière, tout va à l’essentiel, j’aime ce théâtre du vide, du vrai.
Je te remercie aussi d’avoir vu ce qui est là dans ce lieu, dans ce théâtre qui n’en ai pas vraiment un mais que nous avons créé avec ce que nous avions à notre disposition : notre enthousiasme.
J’ai eu la chance de vivre à New-York et de partager de belles expériences avec de nombreux amis artistes et leurs capacités à créer des théâtres dans des lieux improbables et d’en faire des bijoux.
Voilà chère Sarah je te souhaite plein de bonheur pour la suite et pour les retrouvailles avec ta famille.
Bien à toi
Monique Décosterd 29 septembre 2025
Crack le code
Théâtre les montreurs d’images
Réunion de l’Association des amis du théâtre Les montreurs d’images du 24 janvier 2025
Je vous remercie d’être là, votre présence nous encourage à continuer nos activités. Je constate que vous nous êtes toujours fidèles depuis de nombreuses années. Nous sommes ici ce soir une petite douzaine et douze personnes se sont excusées. Je pense que c’est un nombre honorable pour une association.
Je voudrais évoquer la situation d’aujourd’hui depuis la dernière assemblée, le projet de louer les locaux commence à fonctionner. J’ai toujours souhaité que des personnes dont j’apprécie le travail artistique et leur qualité personnelle trouvent ici un lieu pour un cours, un stage ou une création. C’est une grande chance d’avoir maintenant Ana La China qui donne son cours de flamenco les mardis soir, Rebeca Castillan qui répète un samedi par mois avec ses danseuses de flamenco, une troupe de danses hongroises venue ponctuellement deux fois, Jean-Marc Falcombello, présent ce soir, a occupé deux fois un samedi pour des enseignements d’un moine tibétain, Nathalie donne un cours de Katak les jeudis matin, Sarah Marcuse a déjà fait une création en 2023, une pièce dont elle est l’auteur et l’interprète dans « une seule en scène » Holyshit, des représentations et une reprise en 2024. Sarah va être présente en juin pour répéter une nouvelle création et des représentations en septembre pendant trois semaines avec des ateliers. Sarah est très engagée, ses sujets sont forts mais restent un vrai geste artistique. En ce moment, Sarah met en scène ici les jeudis soir une troupe d’amateurs, compagnie Rive Gauche, avec une pièce de Coline Serreau, « Lapin, Lapin ». Merci à elle de sa belle présence. Je continue à enseigner la danse du lundi au jeudi, le ballet classique et mon contemporain aux jeunes et aux adultes.
Le projet quadryptique Beau Printemps - Mars 2024
Quatre spectacles qui convient pendant un mois le public du quartier et d’ailleurs à découvrir quatre gestes artistiques variés sous les mêmes auspices, sorte de continuité à l’instar de la racine, la tige, la fleur et le fruit.
La racine : le monologue toujours si actuel de Bernard-Marie Koltès «La nuit juste avant les forêts» sur le thème de la déshérence, de la perte de repère.
La tige : elle sort de terre et s’élève à la verticale avec « Plume d’ange » un spectacle tout public avec les mots de Claude Nougaro.
La fleur : l’incontestable beauté des poèmes de Rainer Maria Rilke.
Le fruit : en compagnie de la grande auteure S.Corinna Bille avec l’adaptation du roman «Théoda»
Chers amis et chères amies du site du théâtre et de l’école
En 2021 j’ai eu la joie arriver enfin à la publication des quatre ouvrages retraçant quatre décennies du théâtre les montreurs d’images. Le chemin pour y arriver a été long mais nous y sommes. La date du vernissage a été choisie au 12 mars 2021.
Cette publication contient quatre livres, quatre chapitres de quatre décennies de créations, de tournées, de la vie constante de nos cours. Nous avons réuni ce qu’il y a de plus beaux dans nos archives. Des photos magnifiques, des coupures de presse. Des témoignages et un récit lequel fait partager avec le lecteur notre aventure aventureuse. Ces quatre chapitres, réunis dans un coffret, sont les quatre saisons de notre théâtre et comme chaque année le printemps renait après l’hiver.
Vous pouvez souscrire pour l’achat du coffret au prix de 100.- CHF en le commandant à :
vous le recevrez par la poste avec le disque des plus belles musiques du théâtre et une brochure 2021 et un bulletin de versement.
Monique Décosterd 2022
Le reportage de la RTS 2 Passe moi les jumelles réalisé par Sarah Perrig est un magnifique hommage à notre théâtre est passé à l’antenne le 1er avril 2022 :
« Bonsoir Momo,
Je voulais vous remercier pour l’invitation à votre spectacle de dimanche. J’ai eu beaucoup de plaisir à mes yeux, mes oreilles et mon cœur. MERCI. J’espère que Sarah et moi arriverons à vous rendre hommage avec ce reportage, bien que résumer 40 ans d’une vie si riche en 26 minutes est un défi presque impossible. Bien à vous et encore bravo. »
Véronique Rotelli, monteuse RTS
Notre CD
CD,recueil des archives sonores du théâtre en vente au théâtre avec la vente du livre au théâtre ou par mail
7. (Marco Jaccoud : saxophone soprano / Justine Soma Décosterd-Jaccoud : harpe)
Les 40 ans des montreurs d'images (2021)
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Cours
NOS COURS
Je vous invite à suivre mon enseignement de la danse et à travers elle découvrir des éléments du ballet classique, de la danse contemporaine, danse-théâtre, développement personnel et avant tout une rencontre avec soi-même, une rencontre avec les autres.
Monique Décosterd
La danse joue un rôle capital dans les relations humaines, elle est une école du comportement social, de l’harmonie du groupe. La danse est l’école de la générosité et de l’amour, du sens de la communauté et de l’unité humaine.
Rudolf Von Laban
HORAIRES DES COURS 2025 -2026
JOUR | HORAIRES | COURS |
Lundi | 18h – 20h | Classique moyen – adultes et adolescents |
Mardi | 17h – 18h30 | Cours enfants dès 10 ans – barre classique et base du contemporain |
18h30 – 20h | Contemporain et barre – adultes tous âges | |
Mercredi | 16h – 17h30 | Contemporain – jeunes avancés |
18h30 – 20h | Contemporain et barre – adultes tous âges | |
Jeudi | 12h15 – 13h30 | Contemporain et barre – adultes tous âges |
18h – 19h30 | Danse Kathak de l’Inde du nord par Nathalie Rapaille |
Renseignements et inscriptions
+41 79 337 76 36
theatre@montreursdimages.ch
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Spectacle de l’atelier créationReprésentations Juillet 2016
de Henry Miller
De S. Corinna Bille
Inspiré des histoires d’Amadou de Alexis Peiry et Suzi Pilet
Corinna Bille n’a cessé durant toute son existence de chanter l’amour, la vie et la mort.
de Etty Hillesum
de S. Corinna Bille
Le théâtre les montreurs d’images a créé une performance déambulatoire pour Olma 2005. Cette parade et d’autres propostitions peuvent être reprises ou recrées à tout instant, pour des fêtes de quartiers, des manifestations urbaines ou rurales. Demandez nos conditions.
Le théâtre les montreurs d’images a fêté son trentième anniversaire au Bois de la Bâtie à Genève du 22 août au 22 septembre 2007.
de Alessandro Baricco
de S. Corinna Bille
de S. Corinna Bille
de Ysabelle Mégevand